Facebook. Pour quelles raisons les internautes cliquent sur “partager” ?

Souvenez-vous, il y a quelques semaines, c’est Melody qui vous en parlait ici-même : Facebook va réduire le reach des pages professionnelles.  Du coup la vraie bataille ne sera plus d’obtenir des “likes” mais bien des “partages” pour que vos posts soient à nouveau visibles.

Si vous êtes commerçant et que vous tenez une page facebook pour promouvoir votre magasin, il est important de savoir “pourquoi les internautes partagent vos posts, ou pas”.

Voici une infographie qui vous permet de comprendre pourquoi les internautes partagent sur Facebook. Elle a été réalisée par une agence américaine de content marketing auprès d’un échantillon de 2 000 personnes.

Pour quelles raisons les internautes cliquent sur “partager” ?

Pour ceux qui ne parlent pas la langue de Michael Jordan, voici ce qu’il faut retenir, en français dans le texte.

Pour 48% des internautes, ils partagent “des infos qu’ils jugent intéressantes pour leurs amis”, pour 17% c’est pour montrer une cause à laquelle ils tiennent, et pour 13% des internautes ils partagent pour que leurs amis ressentent quelque chose (joie, tristesse, colère…). Quand on s’intéresse aux personnes qui partagent en masse, ils sont 55% à répondre qu’ils partagent les infos qu’ils jugent utiles pour leurs amis. En tant que Community Manager je vous conseille donc de créer des posts utiles, de types “conseils”, “tutos”, “bons plans”.

Quand on compare les hommes et les femmes on s’aperçoit que les femmes partagent plus des contenus liés à l’affectif (pour se sentir connecté avec leurs amis, pour que les amis ressentent quelque chose ou pour montrer une cause à laquelle elles tiennent). Pour les hommes en revanche ils sont plus à même de partager pour “convaincre/persuader” leurs amis (“Regarde cette photo, on voit clairement qu’il y a main sur le but d’Eder en finale de l’Euro”).

On regrettera que l’infographie n’aborde pas les types de contenus (photos, vidéos) qui sont les plus partagés. On a vu au travers de cet article, que les liens d’articles engagent de moins en moins contrairement à la vidéo.

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