142… 142 000 kilomètres, c’est la distance parcourue par le voyageur russe Vladimir Nessine. Pour traverser plus de 146 pays pieds nus, (oui, oui, pieds nus, vous avez bien lu) ce voyageur s’est séparé du superflu pour faire de son sac à dos sa maison ambulante. Une vie en autonomie en totale opposition avec les nouvelles technologies d’aujourd’hui… Dans ce Vendredigital nous verrons comment nous digitalisons nos foyers et ce que l’avenir nous réserve en matière de domotique.

Bonne lecture 😉

“Welcome Google Home”

“Je t’aime moi non plus” : l’incroyable histoire de la domotique en France.

Tout d’abord refoulée puis critiquée, la domotique a laissé place aux questionnements et à la curiosité chez les français. La domotique s’est timidement présentée comme le co-pilote de l’allumage/extinction de nos lumières, de l’ouverture de nos volets ou autres portails électriques… Puis celle-ci a toqué à notre porte pour entrer doucement (mais surement) dans notre intimité avec la mise en route de notre cafetière, la supervision de nos systèmes d’alarme… Aujourd’hui, la domotique s’est confortablement installée sur notre canapé pour devenir notre nouveau colocataire (parfois nommé Alexa, Echo ou encore Siri)…

Une histoire qui commençait mal mais qui promet encore quelques nouveaux chapitres. En effet, en plus de la domotique, la robotique et l’intelligence artificielle se sont également fait une place dans nos quotidiens.

Intel travaille notamment sur un projet de robots autonomes et intelligents. La société américaine souhaite que ces robots soient en mesure de reconnaître nos objets pour nous remplacer dans nos tâches simples du quotidien. L’entreprise planche actuellement sur un programme qui devrait permettre aux intelligences artificielles de différencier un réfrigérateur d’un four, d’un micro-ondes, pour qu’elles puissent adapter leurs actions.

Autre exemple, il y a peu de temps, le Massachusetts Institute of Technology (MIT) expliquait qu’il voulait améliorer ses robots en leur apprenant à apprendre. Désormais, les chercheurs n’ont plus à ajuster les robots au fur et à mesure des expériences réalisées. Chacun d’entre eux est capable d’apprendre de ses erreurs et de recommencer pour mieux faire.