Déjà fréquemment évoqué dans les années précédentes, le crédit revolving revient au premier plan de l’actualité. La Loi LAGARDE avait déjà encadré les pratiques et l’utilisation de cette forme de crédit par les enseignes. Des tests récents pratiqués par des associations de consommateurs ont démontré que le recours à cette méthode de crédit était encore largement perfectible, surtout au niveau de l’information du consommateur.

Il est néanmoins fort regrettable que les médias associent crédit revolving avec cartes de fidélité. En effet, toutes les cartes de fidélité ne sont pas adossées à une carte de paiement ou de crédit. Il est vrai que certains programmes se montrent parfois particulièrement généreux si vous souscrivez une carte de crédit associée, et le consommateur est en droit de s’interroger sur la vraie motivation du commerçant qui le propose : le fidéliser ou générer une nouvelle source de revenu en devenant lui même “courtier” du système bancaire ?

Dans tous les cas, supposons que le client peut être aujourd’hui averti et se méfier des offres de fidélisation trop alléchantes qui passeraient exclusivement par la souscription à une carte de paiement ou de crédit. Il est souhaitable que la décorrélation complète des deux systèmes soit complètement établie, ce qui ne laisserait aucune ambiguïté sur la réelle motivation du commerçant.

Vous l'avez surement remarqué, ces expressions s'invitent de plus en plus souvent dans la presse spécialisée mais aussi dans la presse généraliste. Recouvrent-elles des notions nouvelles ? Définitivement non !

Depuis plusieurs années, les hébergeurs comme Aliénor.net mettent à disposition des espaces dans leurs Datacenters destinés à ce type d'usage. Le véritable enjeu consiste dans la sécurité, la disponibilité et, en amont, la structuration de ces données. Depuis 15 ans Aquitem gère des programmes de  fidélité pour des grandes enseignes comportant plusieurs millions de porteurs de cartes et plusieurs centaines de millions de lignes de ventes. Ces données sont enrichies quotidiennement. Un  bon exemple de Big Data, même si cela ne portait pas ce nom à  l'époque de son déploiement, mais qui en nécessitait déjà les exigences :  accéder aux données de manière rapide et sécurisée.

L'augmentation du nombre de sites on-line chez nos clients (encaissements, services marketing…) a accéléré l'usage permanent de l'accès aux données. Aujourd'hui les Webservices interfèrent en permanence sur les données, pendant que des mises à jour importantes sont traitées ou que les marketeurs et statisticiens produisent des analyses. La structuration des données est essentielle pour répondre à ces demandes. La qualité de l'hébergement l'est également.

Aquitem a choisi depuis 1999 d'acquérir une filiale Internet afin de maîtriser ces aspects. Cette compétence a permis également à Aliénor.net, par l'hébergement de volumes de données très importants, d'acquérir une grande expérience dans ce domaine. Nos données sont sur le “cloud”, depuis longtemps dans nos Datacenters.

Les PME de la Région Aquitaine qui cherchent à franchir le pas sont parfois hésitantes à l'idée de mettre leurs données dans le “cloud”…. mais physiquement où ? Certains responsables informatiques ont bien compris qu'ils pouvaient s'affranchir d'une lourde gestion interne de réseau et de sécurité, mais ne sont pas toujours prêts à abandonner complètement leurs données dans un site inconnu et distant. Les Datacenters d'Aliénor.net situés à Bordeaux constituent une bonne alternative à ce choix.

Notre expérience du Big Data n'est plus à démontrer. Si le cloud local vous tente… n'hésitez pas à nous solliciter.

http://hebergement.alienor.net/220-datacenters-a-bordeaux.html