Pour créer le buzz, il ne suffit plus d’être original, il faut être déjanté.
Voici quelques exemples de marques qui l’ont bien compris…
L’enseigne de cosmétiques Soap & Glory nous propose un buzz de 4m sur 21m. C’est dans le lac Alster à Hambourg qu’une géante prendra un bain de 10 jours.
Il est très fréquent d'utiliser dans sa communication un ou des personnages phare(s). Cette personnification permet une meilleure assimilation des cibles et donne un aspect ludique aux publicités. Il est donc important pour l'enseigne de bien choisir la mascotte qui va la représenter. Voici, les différentes catégories existantes :
1. Les témoins
Le plus vieil ami des publicitaires est le témoin. Il est la simplicité incarnée : un individu lambda qui vante les mérites de l’enseigne. Il touche une large audience grâce à l’identification. Sa théorie : “Puisque je vous ressemble vous pouvez avoir confiance en moi”. C’est comme ça que des milliers de femmes se mettent à acheter « la même lessive qu’à télé ».
Tout le monde connait Philippe et Mathilde, couple fidèle à Leclerc. Leur vie ressemble à la nôtre, ce qui donne à chacun de leurs spots un sentiment de proximité. Le petit + : Le scénario évolue en temps réel. Nous pouvons suivre toutes les étapes de l’enfance de Juliette leur fille, future “addict” aux magasins Leclerc.
Malgré le bon fonctionnement de ce type de publicité, les marques semblent s'en être lassées. Sans oublier que pour se démarquer des autres, il faut aujourd’hui être capable de présenter du renouveau et de l’originalité. Ce sont donc des personnages moins ordinaires qui voient le jour petit à petit.
Aliénor.net participe à la réussite de l'édition 2011 des fêtes de Bayonne !
Aliénor.net permet à tous les fêtards en rouge et blanc d'accéder depuis leur mobile à toutes les informations sur les fêtes de Bayonne 2011 : un programme détaillé de ces 4 jours, des informations pratiques et un rappel du bon comportement à adopter.
Dans Sud ouest du 2 août, Henri LAUQUE (président du comité des fêtes de Bayonne) déclare que le site mobile des fêtes de Bayonne a “explosé les compteurs”.
Ennuyée par la copie répétitive de produits, la Chine se lance dans une contrefaçon plus palpitante : la contrefaçon de services.
Les chinois commencent par s’attaquer à un géant américain : Apple. Copiant déjà les ipads, et autres produits de la marque en grande quantité, la Chine repousse les limites de la contrefaçon en ouvrant des points de vente portant le nom de l’enseigne. Elle vend donc de faux produits Apple dans de faux points de vente. 2 des 5 magasins découverts ont été fermés à Kunming. Notons l’importance de la supercherie : les salariés eux-mêmes n’y ont vu que du feu. Beaucoup d’entre eux déclarent qu’ils pensaient travailler réellement pour Apple. Dans l’un des magasins demeurant ouverts, le responsable est persuadé qu’Apple reconnaitra bientôt son point de vente comme un officiel…
Quelques semaines plus tard et toujours à Kunming, les chinois s’attaquent à une firme suédoise. Le concept Ikea est repris de toute pièce : même code couleur, même implantation de rayons. Les chinois vont jusqu’à reprendre les détails du concept : les crayons de bois, les sacs et la cafétéria. Seul le nom a été changé.
Des difficultés juridiques se posent. Dans quelle mesure la copie de concept est elle punissable ? Les enseignes parviendront-elles à conserver leurs droits de propriété intellectuelle ou laisseront-elles petit à petit cette pratique devenir courante ? A suivre …
Quand Google fait un pas dans la cour des réseaux sociaux, ça se remarque !
Très en vogue, les réseaux sociaux font couler beaucoup d’encre. Critiqués pour leurs aspects intrusif et addictif, ils rassemblent pourtant enfants, parents et parfois même grands-parents.
C’est à San Francisco qu’est lancé fin juin 2011 celui de Google : Google +. En un mois c’est plus de 25 millions d’utilisateurs déjà présents sur ce réseau. Facebook avait du attendre 3 ans pour atteindre ce score et Twitter 30 mois. C’est un record de visites pour Google + qui s’est servi du bouche à oreille en guise de publicité : ça marche !
Google a donc opté pour un développement rapide mais le petit nouveau tiendra-t-il en endurance ?
Son concept ressemble à celui de facebook avec quelques améliorations. Google + est composé de 3 pôles :
– Circles (cercles) : Il s’agit plus ou moins de la base du projet. L’utilisateur créé des cercles correspondant à ces différentes sphères de fréquentation. Ainsi le réseau social distingue la famille des collègues ou encore des bons amis. Une fois tous vos contacts rangés dans les différents cercles vous pouvez aisément paramétrer la confidentialité de chacune de vos publications. (Les photos du chien pour mamie et le nouvel article du monde.fr pour votre boss)
– Hangouts (bulles) : Il s’agit cette fois d’un outil de viso-conférence à priori semblable à skype mais accessible dés vitre moteur de recherche. Signalez aux bulles de votre choix que vous êtes disponible et discutez avec une ou plusieurs personnes.
– Sparks (déclics) : Cet outil permet d’avoir accès à une sélection d’articles en lien avec les mots clés demandés. Articles, photos et vidéos récents, Google + met à votre disposition des sites susceptibles de vous intéresser. Vous pouvez ensuite les partager à votre tour.
Quelques utilisateurs parlent de quitter leur compte facebook pour Google +, mais rien encore ne peut assurer la durabilité du réseau.
En 2011, Le Panda n’a plus l’image de l’animal pataud et inoffensif que l’on pouvait en avoir jusque là.
Amical et attentionné, il est connu depuis des années pour son implication dans la protection de la nature avec WWF. Pourtant, beaucoup le voient d’un autre oeil aujourd’hui…
Cela fait plusieurs mois que le web entier tremble devant la menace du Panda, le nouvel algorithme de Google. Sa raison de vivre ? Chasser les fermes de contenus / les scrappers (sites qui ne font que relayer le contenus de tiers) ainsi que les sites annuaires. Malheureusement dans cette chasse aux sites considérés de “mauvaise qualité” il arrive qu’il y ait des dégâts collatéraux…
Panda frappe un premier coup aux Etats-Unis. En février 2011 c’est prés de 10% des sites qui subissent un déclassement. Cela va sans dire, tout le monde a peur.
Qui seront les suivants ? Serons nous victimes de Panda ? Dans combien de temps sera-t-il en France ?
Tant de questions qui restent pour la plupart sans réponse. Cependant pour que l’attaque de Panda soit moindre il faut y être préparés…
Voici quelques conseils pour tenter de survivre au passage de Panda :
Tout d’abord, il faut savoir que le mot d’orde est qualité.
– Eviter les pages faibles en contenu. Panda les repère rapidement et n’aime pas perdre son temps : Une page faible en contenu peut suffir pour le déclassement d’un site dans son intégralité !
– Eviter les contenus dupliqués sur les sites et blogs.
– Eviter l’abondance de publicités.
– Diminuer le nombre de mots clés dans le nom de domaine.
– Eliminer au maximum les “petites inperfections” : fautes d’orthographe, erreurs de frappe…
– Optimiser le temps de chargement des différentes pages














