C'est dans un centre commercial parisien que Coca-Cola propose une campagne d'affichage pour le moins originale. Une affiche de leur campagne “Love it light” interpelle les passants venus faire les soldes, par l'intermédiaire d'un écran et se permet de leur faire des commentaires personnalisés. Simple mais efficace, la marque nous renvoie à son mot d'ordre “légèreté” !
Ajoutant aux fonctionnalités d'appels, d'envoi de messages et de jeux, des fonctionnalités bien plus évoluées, les Smartphones offrent aux nouvelles générations une drôle d’addiction.
Ce qui n’existait pas hier (parce que cela semblait inutile) devient alors absolument indispensable. Tout le nécessaire se réunit petit à petit dans un objet, un seul et unique objet, que l’on amène tout le temps et partout.
Pour créer le buzz, il ne suffit plus d’être original, il faut être déjanté.
Voici quelques exemples de marques qui l’ont bien compris…
L’enseigne de cosmétiques Soap & Glory nous propose un buzz de 4m sur 21m. C’est dans le lac Alster à Hambourg qu’une géante prendra un bain de 10 jours.
Il est très fréquent d'utiliser dans sa communication un ou des personnages phare(s). Cette personnification permet une meilleure assimilation des cibles et donne un aspect ludique aux publicités. Il est donc important pour l'enseigne de bien choisir la mascotte qui va la représenter. Voici, les différentes catégories existantes :
1. Les témoins
Le plus vieil ami des publicitaires est le témoin. Il est la simplicité incarnée : un individu lambda qui vante les mérites de l’enseigne. Il touche une large audience grâce à l’identification. Sa théorie : “Puisque je vous ressemble vous pouvez avoir confiance en moi”. C’est comme ça que des milliers de femmes se mettent à acheter « la même lessive qu’à télé ».
Tout le monde connait Philippe et Mathilde, couple fidèle à Leclerc. Leur vie ressemble à la nôtre, ce qui donne à chacun de leurs spots un sentiment de proximité. Le petit + : Le scénario évolue en temps réel. Nous pouvons suivre toutes les étapes de l’enfance de Juliette leur fille, future “addict” aux magasins Leclerc.
Malgré le bon fonctionnement de ce type de publicité, les marques semblent s'en être lassées. Sans oublier que pour se démarquer des autres, il faut aujourd’hui être capable de présenter du renouveau et de l’originalité. Ce sont donc des personnages moins ordinaires qui voient le jour petit à petit.
Aliénor.net participe à la réussite de l'édition 2011 des fêtes de Bayonne !
Aliénor.net permet à tous les fêtards en rouge et blanc d'accéder depuis leur mobile à toutes les informations sur les fêtes de Bayonne 2011 : un programme détaillé de ces 4 jours, des informations pratiques et un rappel du bon comportement à adopter.
Dans Sud ouest du 2 août, Henri LAUQUE (président du comité des fêtes de Bayonne) déclare que le site mobile des fêtes de Bayonne a “explosé les compteurs”.
Ennuyée par la copie répétitive de produits, la Chine se lance dans une contrefaçon plus palpitante : la contrefaçon de services.
Les chinois commencent par s’attaquer à un géant américain : Apple. Copiant déjà les ipads, et autres produits de la marque en grande quantité, la Chine repousse les limites de la contrefaçon en ouvrant des points de vente portant le nom de l’enseigne. Elle vend donc de faux produits Apple dans de faux points de vente. 2 des 5 magasins découverts ont été fermés à Kunming. Notons l’importance de la supercherie : les salariés eux-mêmes n’y ont vu que du feu. Beaucoup d’entre eux déclarent qu’ils pensaient travailler réellement pour Apple. Dans l’un des magasins demeurant ouverts, le responsable est persuadé qu’Apple reconnaitra bientôt son point de vente comme un officiel…
Quelques semaines plus tard et toujours à Kunming, les chinois s’attaquent à une firme suédoise. Le concept Ikea est repris de toute pièce : même code couleur, même implantation de rayons. Les chinois vont jusqu’à reprendre les détails du concept : les crayons de bois, les sacs et la cafétéria. Seul le nom a été changé.
Des difficultés juridiques se posent. Dans quelle mesure la copie de concept est elle punissable ? Les enseignes parviendront-elles à conserver leurs droits de propriété intellectuelle ou laisseront-elles petit à petit cette pratique devenir courante ? A suivre …