Les e-commerces cherchent à se différencier et à innover dans la course aux clients en cette période de fin d’année.
L’un des géant du e-commerce, Amazon.com nous propose une nouvelle approche des réseaux sociaux en mettant à disposition des pages dédiées aux marques sur son site internet. Le service est gratuit et est principalement destiné aux TPE et PME. Lire la suite
L’Observatoire des réseaux sociaux, mis en place par l’Ifop, permet non seulement de mettre en avant la notoriété des réseaux sociaux pour les français, mais également la présence de ces derniers sur les différents réseaux communautaires.
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La firme de Redmond espérait frapper un grand coup avec l'arrivée de son nouveau système d'exploitation Windows 8. La direction de Microsoft s’est félicitée d'avoir vendu près de 4 millions de copies de son nouveau système d'exploitation en 3 jours. Lire la suite
L’interaction avec les communautés virtuelles n’est pas la même selon les secteurs d’activités. Une étude de Graph Insider a permis de mettre en exergue les secteurs qui ont eu le meilleur marketing social pour le mois d’octobre. En effet, on peut se demander quelles activités ont le mieux géré et même mobilisé leur communauté.
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Le e-commerce est en pleine mutation.
On “compte” la création d'1 site e-commerce toutes les 20 à 30 minutes en moyenne.
La part du m-commerce ne va cesser de croitre en passant de 2 milliards d’euros de valeurs en 2012 à près de 5 milliards en 2015, représentant environ 7% du e-commerce total. Lire la suite
Une étude de TNS Emnid en association avec Trusted Shops a permis de mettre en exergue les expériences négatives lors d’achats en ligne et ce pour quoi les consommateurs sont prêts à payer.
Ces chiffres, qui concernent trois pays européens (Allemagne, France et la Grande-Bretagne), mettent en avant les services qu’attendent ces cyberconsommateurs.
Un chiffre éloquent, près d’un français sur deux a déjà vécu une expérience qualifiée comme négative lors d’un achat online. Ce chiffre est le même pour la Grande Bretagne et atteint 57% pour l’Allemagne. Les motifs de ces insatisfactions vont être principalement le délai de livraison non respecté, et à moindre mesure, le refus d’une commande ou bien un produit reçu abimé ou non conforme à la commande.
En parallèle on peut remarquer que les consommateurs sont souvent prêts à payer plus pour certains services en supplément.
- Près d’un tiers des consommateurs de ces trois pays sont prêts à payer davantage si on leur garantit une livraison dans les 24 heures ;
- 28% des consommateurs online français accepteraient de payer une garantie de remboursement. Ce chiffre n’est que de 25% pour les allemands et tombe à 18% pour la Grande-Bretagne ;
- 18% des français, et même 20% des allemands, réclament une assurance de livraison (seulement 13% des anglais plébiscitent ce service) ;
- Moins de 10% des consommateurs interrogés sont intéressés par un service d’emballage et au sujet d’une prorogation du délai de réexpédition, le chiffre chute à 5%.
Les e-commerçants ont donc un certain vivier de solutions à éventuellement mettre en place pour diminuer l’insatisfaction de leurs clients.
Les clients insatisfaits étant la meilleure source d’informations pour un commerçant, les entreprises ont tout intérêt à les écouter.









